Dans un working paper récent intitulé « Systematizing science-policy interactions », Lukas Guyer analyse la structure et la diversité des formats à l’interface entre la science et la politique en Suisse et en Finlande.

Dans le contexte suisse, nous sommes cités comme exemple d’organisations institutionnellement indépendantes, qui agissent comme intermédiaires entre la science et la politique hors des structures étatiques ou académiques.

Selon l’étude, des organisations comme la nôtre contribuent à rendre possible et à façonner des formats de dialogue, à préparer et à rendre accessibles les connaissances, et ainsi à soutenir une action politique fondée sur des données robustes.